• La naissance d'une fleur fanée

    Nous sommes à la fin du XIXe siècle. Mais cette histoire commence dans l’hôpital exactement. Aujourd’hui est un jour spécial... Vous devinez non ? C’est belle et bien la naissance de l’héroïne de cette histoire…Ou plutôt son histoire.

     

    Une femme s’approcha de sa sœur qui venait d’avoir ses premiers enfants. Sa sœur lui déposa son jeune fils dans les bras et garda l’autre. La jeune femme en balançant le nourrisson s’exclama :
    « Tu as vraiment fais du beau travail… Ils sont magnifiques !
       _ Oui, dit-elle en souriant, ce sera ton tour la prochaine fois.
      _  Dis-moi chère sœur, comment les avez-vous nommés ?
      _  Le garçon se nomme Ciel et la fille Lys.
      _  De superbes noms, comme je l’attendais de toi. Ils te ressemblent énormément. »

     Douze mois plus tard…

    La jeune famille s’amuse dans leur jardin. Les parents buvaient du thé alors que les enfants jouaient. Il se faisait déjà tard, les parents reprirent les enfants qui allaient ensuite se coucher. A le nuit tombée, alors que tout le monde dormais dans les bras de Morphée, une personne s’approcha du landau blanc ou était la jeune fillette. Il l’a prise délicatement pour le pas la réveiller et pris un morceau de tissu qu’il s’empressa de lui fermer sa bouche pour qu’aucun pleurs aussi aigus sois-t-il ne parviennent aux membres de la famille. Avec une lame, il éclate ses veines et en met sur le landau et écrit en lettre de sang. ‘’ Cet enfant voler ne sera donner et sera tuer.’’.
    La jeune mère se réveilla, puis s’habilla. Elle alla vers la chambre des enfants, avec surprise, poussa un cri strident. Le père entendit son cri, et courait pour la voir. Avec horreur il découvrit le crime… Son fils pleurait toutes les larmes de son corps, mais il allait bien. Mais sa sœur, Lys… A disparu… Beaucoup de sang dan son landau blanc comme la neige, il en déduisait que c’était sa fille. Le couple appela la police, avec un espoir de la retrouver vivante. Mais les recherches on été en vain... Le lendemain ils firent un petit sanctuaire, et y déposa des fleurs blanches, signe de pureté.

     

        Déposant l’enfant dans un panier près à la vendre, il voulu bien l’habiller pour que la marchandise ce vende très cher… Il prit ou vola, une petite robe bleue comme le ciel, avec une rose noir comme le charbon. Avec la neige qui tombait, il en prit une poignée pour que sa peau devienne blanche. Mais il se fichait de la fillette morte de froid…  Quelques heures plus tard, une personne habillée d’une longue cape qui lui cachait entièrement le corps. Il échangea de l’argent contre la fille et la prise avec lui sur son cheval. Personne ne sait combien de temps le cheval courait dans l’hiver glacial.

        Une fois arrivée, on l’enferma dans une pièce avec une seule entrer, sans fenêtre rien. Avec ces énormes pierres qui recouvraient la pièce, on ne pouvait rien voir ni même le petit lit si on peut l’appeler comme tel, cela ressemblait à du foin caché avec un vieux tissu.
       Quand l’aube est apparu, qui malheureusement, Lys ne pouvait voir tellement le noir régnait,  l’homme d’il y a deux jours auparavant la prise violemment par le poigné avec un tel puissante que ces petits membres saignaient.  Il l’installa sur une petite table en marbre glacé, puis prenait un drôle d’objet qu’il venait de brûler et l’avança petit à petit du corps sans défense de la fillette qui criait désespérément. Il la brûla sans aucun remord… Lui laissant une belle marque rouge sur le bas du torse.  Cet homme avec un couteau très aiguisé pris la main de l’enfant déjà ensanglanté et coupa une veine avec une légère coupure et avec un récipient, garda son sang.
       Après que ce sois fini, il lui donna un morceau de pain et deux petits verres d’eau, il ne fallait pas qu’elle meurt aussi tôt.  Et la remets dans la pièce sombre pour qu’elle s’endorme sans dire un mot. Elle rêva de sa famille, qui lui manquait déjà... Ses tantes, ses parents, sa cousine et son frère jumeau. Bien qu’elle vienne d’avoir un an, Lys comprenait déjà beaucoup de chose, sauf ce qu’il lui arrive, a-t-elle fait quelque chose ? Ses parents ? Pourquoi les punir ? Pourquoi cette douleur atroce ? Tant de question sans réponse…  Pendant la nuit elle se réveilla en sursaut, et vit... Deux chats, mais ceux-ci brillaient… L’un d’un blanc éclatant avec de magnifiques yeux bleus, l’autre noir ténébreux avec des yeux d’or. Elle croyait rêver de si belles créatures, mais où sont ils passés ? Les deux chats s’approchèrent de Lys et la caressait d’une douceur… Puis elle entendit chanter une petite aire mélodieuse, mais aussi triste que joyeux. Elle s’endormi, mais peur que cet homme tue ces deux petits compagnons elle les serras dans ces petits bras.

    Quoi de mieux que de la compagnie qui nous réconforte ?


       En se réveillant, elle découvrit  que les deux chats de la veille ont disparu. Etait-ce un rêve ? Personne ne le pouvait le prouver… La porte s’ouvrit lentement et laissa apparaître une imposante silhouette. Il s’approcha de Lys, pour lui reprendre un peu de son sang. Puis la prise et la ramène dans une sorte de cage… Humaine… Il y avait une dizaine d’enfant de différent âge. Tous avec le même symbole sur le torse. Tous s’arrêtèrent de parler quand la cage s’ouvrit, par peur qu’ils soient les prochains à être sacrifier. Un jeune garçon a été désigné et se leva vers l’homme, d’un air bien triste… On pouvait y voir une larme sur sa joue. L’ouverture se referma et pour qu’aucun ne s’échappe, il été fermé à clé. Les deux personnes partirent ne laissant que ténèbres. Par chance il avait laissé une torche pour éclairer. Le plus grand, le plus vieux des enfants avait environ 10 ans, il s’exclama aux autres :
    « Un autre de nos amis est parti, il est temps de nous échapper !
       _ Mais nous n’y arriveront jamais sans lui ! Avec ce bébé qui nous causera des problèmes… !
       _  Je ferais sont travail, et puis regarder ce qu’il nous à laisser, un morceau de fer ! Avec sa on peut déverrouiller la serrure. »

    Il prit le petit morceau de fer et tricota avec le cadenas, la porte s’ouvrit et laissa tout le monde s’échapper. Puis un enfant prit Lys, pour qu’elle aussi ne vive pas dans cette prison. Mais un ‘’prêtre’’ les aperçu et appela des renforts, car un groupe d’enfant peux faire mal surtout si on n’a aucune arme sous la main… Les enfants coururent vers une sortie pour s’échapper, mais malchance… Plusieurs gardes s’attaquèrent à eux. La fille qui tenais Lys la laissa tomber dans un coin humide, puis essaya de partir… Les enfants, quand à eux furent tué, personne n’a peux survivre à ces douleurs, ces coups de fouet… En ratissant le sol ils trouvèrent l’enfant endormis…  La seule survivante. Il ne prit pas la peine de la tuer, car celle ci avait un sang « pure » d’un nouveau née. Il la remit dans la cage en prenant un peu de sang et bavât. Etait-ce un vampire ? Non... Il l’aurait mordu… Normalement. Elle passa le reste de la journée en attendant qu’elle s’endorme.
    Ces yeux commencèrent à ce fermé et les deux chats revinrent et se coucha près d’elle. En dormant, le chat noir se leva et alla voir ces drôles de personnage. En longeant le couloir, il arriva devant une salle. Celle-ci était remplie de flacons rougeâtres, avec des étiquettes dessus. Sur la plus clair y était écrit « Lys Phantomhive 16/12/75 » elle était aussi presque vide… Pour emplir tout ce flacon… Il faudrait une énorme quantité de sang ! Un peu plus loin, on pu voir quelque os… Mais aussi des organes, des parchemins… De magie… Noir ?

       Cela fait cinq ans déjà… Elle grandi à vue d’œil, et a développer un grand son intelligence. C’est le matin, c’est l’heure tant attendu… Enfin un tout petit divertissement.  On lui donna un carnet et un morceau de fusain, pour que la fille s’entraine à écrire des rites étranges… Seule, elle ne savait pas comment faire… mais le chat blanc vint, personne ne sait comment, mais posa sa patte sur sa petite main, qui avait l’aire de bouger toute seule. Il essaya de lui faire dessiner un symbole, un scorpion… Mais qui été bien mal fait ! Cela ne ressemblait à rien… Une femme s’approcha, une première pour Lys, qui n’en voyait jamais. La femme ramassa la feuille et la déchira, elle dit viens ma fille, je vais t’emmener… Elle alla dans une autre salle noir et rouge et disait à la jeune fille «Tu va répéter mes mots, et avec ce couteau lui planté dans le dos de l’agneau ». Puis elle commença à parler ‘’ Per divinum numen Dei Omnipotentis, eius jussu in isto corpore conclusus remanebis ! ‘’ A ces mots Lys s’exécuta, et poignarda l’agneau… Qui comme par magie, une grande explosion rejeta les personnes à l’intérieur…
    Il était presque midi, son estomac criait famine, comme depuis qu’elle y ait prisonnière… On lui donna une tranche de pain, et très peu d’eau. Puis, elle sorti le petit carnet et le morceau de fusain, c’est le tour du chat de charbon de l’aider, et comme pour la première fois, avec sa patte, l’aida à tenir le fusain dans la petite main… Et comme pour le premier, c’était aussi le même symbole, mieux créé… Mais qui portant portais des marques, donc aussi raté par les traces du fusain. Quelqu’un entra, et y projeta quelque chose… Une petite chose… Un… Un enfant ? Une fille précisément, du même âge de Lys on dirait… Elle essaya de lui parler, la rassurer… Ce n’est pas tous les jours que l’ont à une telle visite ! Elle s’avança, et essaya de dire un mot… Mais étant donné que Lys ne sait pas parler correctement, on entendit « Q…ui… t…t…tu…es...es... ? ». Aucun son ne sortit, ni même un mouvement… Ne sachant que faire, elle coupa la tranche de pain en deux, un grand, et un petit. Puis la jeune fille le posa dans sa main, et y met son pot, où il y avait un peu d’eau.
    Après une dizaine de minutes, cette fille bougea, puis commença à se redresser. Elle découvrit Lys, avec de grands yeux bleus nuit, écarquillés. Elle pointa le morceau de pain et l’eau, comme si elle demandait la permission. Lys, elle, hocha la tête. Et elle reprenait des forces. Elle à son tour, demanda :
    « Comment tu t’appelles ? Moi c’est Jelly s’exprima la brune.
       _  L…Ly…Ly…
      
    _ Tu sais parler ?
       _ O...Oui... Un p…p…Peu. J…Je… s…s…s…su...is… L..Lys..
       _ Tu bégaies beaucoup toi… J’ai bientôt 10 ans ! Et… Non… Tu vas mettre des heures à répondre, dit-elle en se moquant. »
    Vexer, elle bouda… Enfantin. Oui… Et leva un seul doigt. Puis elle alla se coucher pour se calmer. Mais… Un cri se fit entendre, la porte s’entrouvrit… Et… On vit un visage… Blanc, la peau extrêmement pâle. Puis, une main ridée ouvrit la porte entièrement. Et marcha lentement vers les filles, cette personne, frappa Jelly pour qu’elle bouge de son chemin. Puis prit Lys de sa main froide et l’emmena hors de la pièce, puis ferma la porte. La jeune femme d’auparavant, sortit de l’ombre et chuchota « C’est elle. ». On l’emmena dans une salle, qui était… Totalement éclairer. Un mois sans lumière à des conséquences… Sa vue, qui été habitué au noir, elle ne vit rien, seulement le néant d’un blanc étincelant. La femme ouvrit un placard, et sortit un vieux tissu, ou feuille, on ne pouvait voir la différence par les ravages du temps. Et s’exprima d’une voix stricte et énervé « Il nous en faut plus, il nous faut plus de sang… ! » Sur ces mots, le vieil homme prit un crochet et leva le bras de Lys, et fit une blessure du poignet à l’épaule. Et avec le tissu banda son bras. Vous ais-je révélé qu’il était trempé dans un poison ? La femme s’approcha et avec une poudre noir et dessina un symbole sur son front on pouvait voir une étoile et le mot « Tétragrammaton » sur chaque branche de l’étoile.
      
    Trois jours plus tard…
    « Lys ! Lys ! Réveille-toi ! A voilà, enfin, marmotte. Tu es toute chaude… Et puis c’est quoi ca ?!
       _ Nnnnhhhmmm, elle se retourna et se demanda se qui  c’est passé.
       _ Répond-moi. Dit-elle d’un ton contrarié.
       _ Je… ne sais… pas…
       _ Pfff… T’es fatigué ? J’imagine… »

        Puis Jelly alla se rassoir à côté d’elle. Et essaya de se rendormir. Lys, quand t-à elle, se leva et marcha en rond, pour réfléchir, se souvenir, de ce moment, et tomba raide sur le sol glacée. Jelly, sursautée, alla vers elle et remarqua que ca blessure sombrait du bordeaux aux  violet… Une infection du sang. Elle cria de toutes ses forces pour avoir de l’aide… Personne ne vint.  Tandis que Lys retombait dans le coma, elle la claqua pour qu’elle fasse un signe, et dit en pleurant « Bats-toi ! Ne meurs pas ! ».Une larme coula sur sa joue, et serra Lys, comme une amie.

       Désespérément, elle cria de toutes ces forces, jusqu’à ne plus avoir de voix. Soudain, les deux chats s’approchèrent, doucement comme si on les avait appelé. Etant perdue, Jelly essaya de le faire comprendre, même si elle était sûre que cela ne marcherais pas. Elle bredouilla « Il lui faut des médicaments….Un...Médecin…Et… » Avant qu’elle ne pu finir sa phrase, elle s’effondra, le chat blanc, se transforma, en un genre d’humaine, avec une belle et longue parure blanche comme le neige, plus soyeux que la soie. Elle s’approcha de Lys, et demanda à son compagnon, de reculer, pour ne rien voir. Cette être, qu’on ne peut qualifier d’humain, posa ses main sur l’avant bras de la petite, personne ne sait ce qui ce passait, mais on vit une lueur verdâtre, comme de l’herbe, un beau jour de printemps. Lentement, un liquide noir s’envola d’elle, c’était le poison... Le chat noir a son tour, devint une ombre, et avala le poison, qui mystérieusement, ne lui fit rien, le poison disparait contrairement…La femme blanche s’exclama : « Il ne faut guérir sa blessure, sinon, ils le sauront. » Mais savoir quoi… ?
       Jelly se réveilla, étourdit. Elle venait de faire un drôle de rêve, très bizarre, elle alla vers son amie. Et lui demanda :
    « Ca va mieux ? demanda-t-elle.
       _ Oui…répondit-elle encore endormi.
       _ Je peux te demander quelque chose ?
    On n’entendit aucun son, Jelly pensait que cela voulait dire « Bien sûre ».
       _ J’ai fait un drôle de rêve, quand tu es revenue tu étais presque morte, et deux chats son venue, je ne sais pas très bien, mais j’ai veux de femmes juste après elles te guérissaient ta blessure… Et, je ne sais pas comment elles sont venues ici.
    « C’est…Un rêve, bégaya-elle, j’ai mal a mon bras…Ce n’est pas…pas très beau…
      _ Montre ton bras ! Elle le prit et regarda. Ah…Alors ce n’était rien…
      _ Tu croyais…quoi ? Que les… les anges existent ?
      _ Oui…
      _ Laisse-moi dormir maintenant…Dit-elle en baillant. »
      Encore sous le choc, Jelly se recoucha, mais ne pu dormir de la nuit. Elle pensa « Mais ca avait l’air si vrai… Comment ? Pourquoi ? » Tant de questions sans réponses. Elle n’arrivait pas à penser à autres choses. « Oublie ça Jelly, juste un mauvais rêves. » Elle ferma les yeux, et essaya de dormir.

       Jelly bailla bien fort, elle se leva et s’étira. Lys, contrarié, dit doucement « Tu fais trop de bruit, je veux dormir, je dois reprendre…Des forces » Jelly s’avança prit Lys et répondit aussitôt « C’est le matin, la marmotte doit se lever. » Lys, ne savait pas ce que c’était une marmotte, alors elle ne fit rien. Mais elle dû se lever, a moins d’être énervé.  Elle commença à marcher. Et a tournée en en rond.
    « Comment me…suis-je…je…fais cette entaille ?
       _ Eux… Un vieil homme et venu et t’a emporté dehors.
       _ Je ne me...souviens de rien… Pourtant...
       _ Vraiment ? Rien du tout ? Questionna- t’elle.
       _ Juste de  la lumière, et que quelqu’un me faisait quelque chose… Sur ma tête.
       _ Il faut nous enfuir d’ici ! Dit-elle haut et fort.
       _ Oui mais non…bredouilla-t-elle.
       _ POURQUOI NON ?
       _ On n’était pas les seules… Ils l’ont fait… Ils sont libérés...Presque…
       _ Je ne comprends rien à tes paroles, marmotte.
       _ Ils...Ils… Des larmes se formèrent, puis coulèrent sur ses joues… Ils sont tous morts, je les ai vus. »

       Jelly s’immobilisa quelques instants, s’il y a une entrée, il y a logiquement une sortie ! Elle tourna la question dans tous les sens, comment faire ? Les mois passèrent sans réponse, Lys devenait de plus en plus faible, on la ramenait en la trainant régulièrement. Elle aussi était dans sale état, le teint blême et la peau sur les os. Plusieurs heures, jours ou semaines… comment savoir ? 

    A suivre...


    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :