• Les amants de Samain

    En cours d'écriture !

     

    Voici une légende écrite dans de vieux manuscrits, ce que je vais vous dire est une traduction et j’espère qu’elle vous fera vivre ce que j’ai ressentis.

         Cette histoire commence dans une vallée européenne. A la fin de l’après-midi on pouvait voir l’ombre des montagnes s’étaler le long de la forêt. Une rivière passait entre elles, les galets scintillaient au crépuscule et reflétaient une lumière rosée. Les moineaux, les écureuils, toute la faune locale commença leur rituel, chercher un endroit sûr pour se reposer et dormir dans les bras de Morphée.  Sur la rive orientale on pouvait voir une famille de cerfs se ressourcer, aujourd’hui une nouvelle tête est apparue, la famille c’est agrandi. Les chouettes et hiboux chantent leurs traditionnelles berceuses, la côte est devenue si paisible en ce début de soirée. Or de l’autre côté de la rivière des chants se fient entendre un feu de joie est allumé une douce odeur parvint, était-elle un bon présage ? En traversant le pont le sentier principal conduisait dans le petit village isolé. C’est ici que tout se déroula, Astlight. 

        « Sommes-t-on obligé de faire cela ? Depuis quelques temps les habitants deviennent fou… » Un jeune homme l’enlaça tendrement et lui répondit à l’oreille : « Ne regarde pas, tu vas faires des cauchemars, Merry. » La jeune fille détourna son regard, cette scène était atroce. En cette soirée si un seul acte tâchait le cadre si poétique. Ce n’était pas un feu de joie, ce n’était pas une fête, c’était un bûcher. Et une personne agonisante y était accrochée. Le futur défunt se plaignit qu’il était innocent. Les villageois avaient l’air perdu, ce n’était pas la bonne personne, mais il fallait bien rendre justice. Peu à peu que la lune se levait les habitants revenaient dans leur chaumière. Une fois chez eux, Merry s’époumona : 
    «  Quand vont-ils arrêtés ces horreurs Charles ?
    - Quand ils auront trouvez le tueur de la famille du boulanger, répondit-il simplement.
    - Je ne vois pas qui pourrait en vouloir à une famille si honnête et si humble ! Plus jamais je ne pourrais voir leurs enfants venir avec moi en promenade, ramasser des herbes… Et ce bon Pierre, ils l’ont tué car personne n’était d’accord, ce n’était qu’un bouc émissaire ! cria-t-elle en pleurant à chaude larmes.
    - Je suis sincèrement désolé Merry, dit-il, je ne peux rien faire sans que je risque l’exécution...
    - Surtout, promets-le moi, ne meurs pas, pleurnicha-t-elle contre lui.
    - Je te le promets. »
    Tout en préparant le dîner, une soupe aux choux et morceau de pains, le jeune couple discutèrent de l’affaire qui avait le village d’Astlight la veille-même et se couchèrent dans la soirée.

        Le vent faisait virevolter les branches et emporta le bruit sourd de gémissements, la lune contemplait la scène. Quatre masses sombres dévoraient leur festin, l’eau autrefois si pure se colora. Certains lièvres fuyaient ce spectacle funeste. À l’aube, la vie reprendra ces droits. 

    « Réveilles-toi mon amour, ton déjeuner est prêt sur la table, et par pitié dépose-moi ces vêtements, se plaignit la jeune femme, je vais les recoudre on pensera que tu t’es battu avec ! »  Les enfants se réveillaient doucement de leur léthargie,  la place se remplissait, les maraichers déposaient les produits sur leurs étalages, une odeur de pâtisseries, de poulets fraîchement cuits s’élevait dans les airs. Puis le drame. Un hurlement retentit dans toute la vallée. Très vite les villageois se regroupaient près d’une maison vide. La jeune fille se rapprocha et vit une chose terrible. Le battant était écartelé sur le sol, la porte gardait des grandes empruntes de griffes, celle d’un monstre. Le maître des chasseurs fut appelé, et une fois arrivé, le verdict tombe. Il n’y a personne dedans. Une battue dans la forêt fut organisée en urgence, et débutera à onze heures. 

         En revenant du marché, Merry se sentait très mal, la disparition de M et Mme Blackwood était de très mauvais augures, cela lui rappelai les légendes de sa mère qui lui racontait pour qu’elle ne désobéisse pas.  Ces évènements ressemblaient à cette histoire, « La malédiction de Samain », elle racontait que chaque nuit pour assouvir la vengeance du démon, certaines personnes devaient se sacrifié car leurs ancêtres auraient pêché.  Sans ‘en rendre compte la jeune femme resta muette un moment sur le palier jusqu’à ce que Charles lui ouvre la porte avec son habituel son sourire.Celui-ci remarqua instantanément le mal-être de sa compagne, la jeune femme était blême, sur le point de s'évanouir. Charles la ramena dans la petite chaumière,pris une couverture et l'enveloppa. Il ne savait que trop bien ce qu'il venait de se passer. Cette nuit encore un meurtre a été commis dans la bourgade. Il la regarda en ne savant pas ce qu'il pouvait faire, il n'entendit pas Merry s'eclamer : «  Je vais aussi rechercher cette abominable créature, elle a détruit trois familles ! » 


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